lundi 10 février 2014

Sommaire

 Présentation mis en ligne le 05 février 2013

 Introduction mis en ligne 04 février 2013


 I.   Proximité avec les réseaux sociaux mis en ligne le 03 février 2013

II.  Les différentes relations bouleversées mis en ligne le 02 février 2013


III.  Vie privée et publique confondus mis en ligne le 02 février 2013



Conclusion mis en ligne le 01 février 2013


Bibliographie mis en ligne le 30janvier 2013

mercredi 5 février 2014

Présentation

BienvenueWelcomeBienvenidobenvenuto, Willkommen...


    Nous sommes trois élèves, Melanie, Marie-Cyrielle et Romain en première littéraire du lycée Charles Despiau, cette année nous avons une épreuve de travaux personnels encadrés (TPE) à réaliser. Nous avons choisie un sujet d'actualité qui nous touche plus particulièrement à nous les jeunes l'influence des réseaux sociaux sur les jeunes. Pour cela nous avons croisées deux matières, la sociologie et l'histoire et allons partager avec vous nos recherches sur ce sujet.



Les différents réseaux sociaux

mardi 4 février 2014

Introduction

   
  Aujourd’hui environ 3milliards de personnes sur 7millards d’humains sont actifs sur les réseaux sociaux. Par exemple, grâce aux jeunes, un des plus célèbres réseaux sociaux, Facebook a pu fêter ses dix ans de fonctionnalité le 4 février 2014. Nous sommes bien conscients que notre génération est fortement touchée par le phénomène des réseaux sociaux, malgré les nombreux risques auxquels nous sommes confrontés sur les réseaux sociaux nous continuons de l’utiliser car c’est devenu un outil presque incontournable. Malgré les risques les réseaux sociaux ont tout de même beaucoup d'avantages.
     D’ailleurs internet a un rôle majeur dans la construction des jeunes, notamment par la présence des réseaux sociaux dans leur quotidien, alors comment les réseaux sociaux ont-ils bouleversé l’attitude dans le quotidien des jeunes des années 90 à aujourd’hui ?
     Premièrement nous analyserons la proximité des réseaux sociaux par leur fréquentation et leur accessibilité à travers le monde, deuxièmement les réseaux sociaux influencent nos différentes relations nous verrons de quelle manière et comment les notions changent, pour finir nous étudierons comment les réseaux sociaux font de la vie privée une vie publique particulièrement au travail et au lycée.




lundi 3 février 2014

I) Proximité avec les réseaux sociaux



    Sur la toile, il est de plus en plus simple d'accéder aux réseaux sociaux. De ce fait, ces derniers figurent parmi les sites les plus fréquentés à travers le monde. Ce phénomène s'ancre dans les mœurs, malgré les risques présents.

1. Fréquentation et accessibilité



     Parmi les sites web les plus consultés au monde, les réseaux sociaux occupent une place importante. Prenons par exemple Facebook qui est aujourd'hui numéro deux après Google, avec 600 millions d'utilisateurs actifs. Ce classement place Facebook en tant que numéro un des réseaux sociaux les plus consultés à travers le monde.




      Cependant Facebook n'a pas toujours connu le succès qu'il possède aujourd'hui. Ce n'est qu'à partir de 2008, soit 4 ans après sa création et 2 ans après qu'il soit accessible à tous, que le site connaît une ascension fulgurante : il passe de 100 millions d'utilisateurs à plus de 700 millions en 2011.


      Le numéro 1 mondial semble pourtant présenter une tendance à la baisse, puisque de 2011 à 2013, il perd 100 millions d'utilisateurs et passe donc de 700millions à 600millions d'utilisateur en 2 ans.



     Au cours de l'année 2004, Facebook s'est étendu aux universités des Etats-Unis et du Canada avant de s'ouvrir au monde entier.

    Facebook est accessible à tous depuis septembre 2006. Il suffit de posséder une adresse électronique et d'avoir au moins 13 ans pour accéder au réseau.


   A travers le monde, les 3 plus grands pays par nombre d'utilisateurs inscrits étaient, en 2012 : les Etats-Unis (167 millions), l'Inde (60 millions), et le Brésil (60 millions).



                Ces derniers sont suivis de l'Indonésie (50 millions), du Mexique (39 millions), du Royaume Uni (33 millions), de la Turquie(31millions), des Philippines (30 millions), de la France (25 millions), et de l'Allemagne (25 millions).


2.Un phénomène de mode
    

         De nos jours,   1/7 de la population mondiale possède un compte Facebook , notamment les jeunes. Ils représentent presque la moitié des utilisateurs Facebook, soit 46% pour les 13-25 ans, ce qui est une part considérable.





      Le site est aujourd'hui qualifiable de "phénomène de mode" chez les jeunes. Un jeune ne possédant pas Facebook peut être souvent considéré comme « démodé » ou encore « à la masse ».  La consultation des réseaux sociaux représente l'une des activités les plus courantes chez les jeunes ; 51% des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement.

      Bien que Facebook et l'ensemble des réseaux sociaux présentent des risques, notamment en ce qui concerne le respect de la vie privée, les jeunes suivent le mouvement de foule que provoque ces réseaux sociaux, de peur d'être mis à l'écart et de ne pas être intégré.



dimanche 2 février 2014

II) Les différentes relations bouleversées





       Avec l’arrivée des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter, la notion d’amitié a connu de véritables bouleversements. Sur la toile, tout le monde est désormais le copain de tout le monde. Il est de même que les réseaux sociaux ont un impact important sur la vie sentimentale de leurs utilisateurs.

1)Les relations d'amitiés

     on constate que la notion d'amitié, même à travers les siècles n'a pas tellement évoluée alors qu'aujourd'hui avec la présence permanente des réseaux sociaux la notion est quelque peu redéfinie.



La conception de l’amitié «l’alter ego» selon Aristote (384-322 av. J.-C.)

  «L’amitié n’est pas fondée sur l’utilité ou la recherche du plaisir; elle consiste, et incite, à se comporter de manière morale entre gens de bien. Condition du bonheur individuel, elle constitue aussi le ciment de la communauté politique, en liant les citoyens.»




La conception de l’amitié « la connivence » selon Montaigne (1533-1592)
« La parfaite amitié est une connivence aussi rare que totale: chacun se donne si entier à son ami. C’est une expérience purement singulière où le sujet devient lui-même auprès de l’autre, même après sa mort.



La conception de l’amitié « l'inimitié » selon Nietzsche (1844-1900)

« L’ami n’est ni mon alter ego (conception grecque) ni mon prochain (chrétienne). Il est plutôt cet être lointain qui me pousse à me dépasser, à surmonter ma condition humaine, trop humaine. D’où des rapports d’émulation, de rivalité et même d’inimitié entre les amis véritables. »




La conception de l'amitié « nouvelle » selon Anne Dalsuet (XX° siècle)

«  il suffit de se croiser 5 minutes dans une soirée pour devenir ami sur Facebook le lendemain. Dans notre monde hyperconnecté, l’amitié a-t-elle encore un sens? Si l’on prend la définition qu’en donne Aristote, l’amitié est un lien qui unit les humains, semblables et égaux. Elle constitue un modèle tant éthique que politique. C’est un lien affectif qui surpasse la simple et froide justice, une surabondance qui augmente la joie de se sentir vivant. Elle accroît la connaissance de soi et nous conduit à partager des actions et des pensées.  Seulement, avec les réseaux sociaux, ce principe défini par Aristote est certes respecté, mais à des fins promotionnelles ou marchandes»



     Dans la société actuelle, presque tous les individus sont reliés les uns aux autres en un veste réseau. Avant on rencontrait un ami par hasard, imprévu ou encore avec des connaissances communes. Aujourd'hui on devient “friends“ sans réellement connaître l’autre, sans s’être « apprivoisés ». Cette socialisation dite numérique, le “friending”, mise davantage sur des liens rapides, les modalités de la rencontre sont bousculés voir renouvelés.
Le terme « ami » a lui-même radicalement changé de signification. Utilisé à tort et à travers sur Internet, il a aujourd’hui une dérive sur les réseaux sociaux qui englobe les différentes sphères sociales (membres de la famille, amis très proches, connaissances, amis d'enfances, collègues...).Ce sont tous des « amis Facebook ».


     Mais alors, qu’est-ce qu’un « ami Facebook »?

Sur Facebook, le terme « ami » est en fait, deux types de relations:
    Les amitiés avec des liens forts (les amis proches)

     Les amitiés détachées avec des liens faibles(les connaissances croisées brièvement un jour)



     L'ambition des réseaux sociaux n'était-elle pas de favoriser les rencontres, de permettre à chacun de décider de sa sociabilité en réduisant l'aléatoire?
Facebook à l'origine permet à chacun d'élargir son cercle de connaissances, d'augmenter son capital social et surtout d'unifier un monde en favorisant les relations.
    Sur les réseaux sociaux, les amis de mes amis sont mes amis, or comme le dicton le dit, les vraies amies se comptent sur les doigts d'une main.
    
   Des réseaux tels que Facebook ou Twitter permettent-ils réellement de créer des liens sociaux ? La réponse est oui. Facebook et Twitter aident à amorcer certaines amitiés, à en renforcer d’autres, et à développer son «capital social ».






2)Les réseaux sociaux et les relations amoureuses



    Depuis plusieurs années les réseaux sociaux se multiplient : Twitter, Facebook, Ask, Instagram... et prennent une place de plus en plus importante dans notre vie. Ils ont une influence incontestable sur la vie intime de ses utilisateurs, mais les relations amoureuses et les réseaux sociaux ne font pas toujours bon ménage. Les sentiments sont intensifiés, les profils sont espionnés, et les séparations commentés. Avec les millions de personnes se connectant quotidiennement sur les réseaux sociaux, chacun a désormais plus ou moins une chance de voir toute sa vie sentimentale commentée et influencée par le regard des autres.
   
       Alors il y a-t-il un réel impact sur nos relations amoureuses ?
       
    Le premier impact des réseaux sociaux est cette puissance d'amplification des sentiments et des émotions. Cette valeur «d'intensification émotionnelle», on la retrouve dans les diverses possibilités offertes par les réseaux:

la discussion en instantané: qui permet de rentrer en contact «direct» avec une personne choisie

la messagerie personnelle qui permet des conversations sur le long terme avec une personne choisie


le mur ou le profil qui permet des publications destiné à une ou plusieurs personnes mais qui est visible par tous les autres utilisateurs.

       
      Un autre impact c'est que le réseau social amplifie les problèmes que peut rencontrer un couple, comme par exemple:
   →La jalousie, avec la possibilité de surveiller vie privée, statuts, photos à volonté.
   →Le statut d'une relation, quand faut-il officialiser sa relation (sur Facebook notamment) et qu'est-ce que cela signifie.
       La paranoïa, le fait d'avoir accès aux postes de votre partenaire, peut pousser l'autre à la surveillance.




      Une étude réalisée auprès de 1.037 personnes âgées de plus de 15 ans révèle que plus d'un français sur cinq avoue avoir déjà espionné son conjoint sur un réseau social. Parmi ceux qui avouent pratiquer cette surveillance 15% assume une pratique régulière et 61% préfèrent consulter les comptes de leur conjoint en cachette. Conclusion cette pratique encourage la jalousie et la méfiance et est souvent cause de tensions entre les couples.

      De plus, la situation ne risque pas de s'améliorer avec la sortie permanente d'applications pour avoir accès aux réseaux sociaux depuis votre smartphone où , les messages, notifications et autres informations apparaissent tout de suite car on y a maintenant un accès illimité partout et tout le temps.

      Mais rassurez-vous il n'y a pas que des aspects négatifs et les fonctions de messageries instantanées et le partage de photos sont des fonctionnalités très prisées par les couples. Les réseaux sociaux permettent de garder un lien avec son partenaire où que l'on soit. Pour cela, des réseaux sociaux un peu spécifiques se sont développés; comme Pair, le réseau n'autorise qu'un seul ami dans votre liste, votre partenaire. Vous pourrez ainsi tout partager, photos, vidéos et messages privés.



les réseaux sociaux permettent aussi les rencontres.

      Le web est le lieu idéal pour faire des rencontres car des milliers d'internautes y naviguent, à la recherche du grand amour ou de la grande amitié. Ces rencontres peuvent se faire sur des réseaux sociaux. Myspace, Facebook, Twitter, nommez-les, les réseaux sociaux font désormais partie de la vie quotidienne de bien des gens. Les rencontres via internet se font de plus en plus facilement et leurs critères de recherche sont de plus en plus précis selon les multiples sites de rencontres.
    Ce qui fait le succès des rencontres via les réseaux sociaux c'est d'abord qu’il simplifie les contacts.Premièrement parce que le physique prend moins d'importance, les utilisateurs ne se voient pas dans un premier temps, ce sont les affinités qui priment. Ensuite grâce aux discussions instantanées, aux groupes déjà créés sur certains réseaux, une sélection est déjà établie, ce qui permet aux personnes de cibler leurs partenaires potentiels grâce à des points communs (religion, profession, centre d'intérêt commun...).
   
   De plus, les contacts se font de chez soi, avec la possibilité de communiquer en ligne et par webcam avant de se rencontrer, tout cela sans dépenser une fortune. Evidemment c'est un avantage pour les affinités à distance, car un des grands succès des réseaux sociaux c'est qu'on peut communiquer avec des personnes du monde entier.

  Puis l'accès aux réseaux sociaux est gratuit et donc accessible à tout le monde, ce qui fait son plus grand atout. A l'inscription, des renseignements personnels sont demandés (célibataire, en couple...) ce qui permet aux autres inscrits d'être informés sur notre situation et d'entamer une conversation afin d'envisager une relation et ensuite peut être l'occasion de mieux se connaître.
  
 Grâce à internet les complexes se dissipent et les réseaux sociaux offre plus de liberté d'expression. De vrais sentiments peuvent naître mais qui reste à confirmés ou non par la suite avec une rencontre réelle. Cependant ces techniques de rencontre entraînent l'isolement social des individus. A ce jour, les rencontres sont moins humaines et surtout plus virtuelles.




Rompre via les réseaux sociaux


   Si Internet et les réseaux sociaux permettent d’établir de nouvelles relations, ils ont également transformé les ruptures amoureuses. En effet, au lieu d’un face à face, certains préféreront mettre fin à une relation amoureuse en utilisant les nouvelles technologies. La rupture à l’ère du 2.0 est avant tout une occasion de fuir la relation, quels que soient les motifs. On sera tous d’accord pour dire que cette façon de faire manque carrément de courage mais elle serait beaucoup plus fréquente qu’on ne le croit.

    Une enquête réalisée par aufeminin.com auprès de 1400 femmes est particulièrement éloquente.
84% d'entre elles ont reconnus s'être fait quitter par les nouveaux moyens de communications (36% quittées par un sms, 35 % ont appris la rupture par téléphone, 8% sur le célèbre réseau Facebook, 4% sur Twitter et 1% par un courriel)
Les hommes sont plus nombreux à utiliser ce moyen peu galant. Ils éviteront ainsi la confrontation et voir la personne en face triste. Les femmes, elles, utiliseraient ce moyen pour quitter un homme qu’elles craignent.


 Cette séparation virtuelle n'est pas toujours évidente à gérer, et a des impacts néfastes sur la personne souffrante de son ancienne relation:
         les « amis » s’emballent, posent des questions, donne leur opinion. Le couple fraîchement séparé se voit pratiquement dans l’obligation d’expliquer sa rupture à ses 725 amis… et de rouvrir la plaie à chaque fois.
       De plus, chacun fera état de sa nouvelle vie, de sa liberté retrouvée ce qui créera de nouvelles tensions et parfois de souffrances pour la personne laissée.
      La personne qui souffre sera également tentée de fermer son compte sur le réseau mais elle hésitera à le faire pour éviter de perdre ses autres amis.
    La tentation de voir la page Facebook ou les « Tweets » de son ex demeure constante.


    Elle a aussi, des impacts néfastes sur la personne souffrante de son ancienne relation:
      un choc plus important accompagné d'un sentiment d'incompréhension
      un mélange de peine, de colère et d’impuissance plus élevé.
      Elle aura le goût de se venger sur les réseaux sociaux


   En fait, le deuil de la relation sera nettement plus difficile à faire. Les ruptures via SMS ou les réseaux sociaux sont rarement assorties de longues conversations qui permettent à la personne éconduite de comprendre les véritables raisons de ce geste. La réelle nouveauté en la matière est que 20% des demandes de divorces incluent des éléments relatifs à Facebook, car si Facebook peut favoriser les contacts et les rapprochements, il est clairement nocif pour les personnes jalouses.

III) vie privée et publique confondues




      En raison des réseaux sociaux plus on partage, plus on s'expose, plus on a peur des atteintes à sa vie privée. Or sur un réseau social on mène une vie social , voire une « vie publique » comme par exemple Facebook conçu en 2004 par un jeune étudiant qui est Mark Zuckerberg de la célèbre école Havard, d’abord réservé pour communiquer entre personnes issues de la même école mais en espace de quelques temps il est devenu une source de données personnelles qui pousse les utilisateurs  à  mener une vie publique.


1) A l’école

         Depuis 1990 on a pu assister et participer à la création d’une génération « online », on est 24h/24 connecté et surtout surveillé, à chaque modification de notre profil nos « amis » reçoivent une notification dans la seconde qui suit. Avec l’utilisation permanente des nouvelles technologies de communication (téléphones, réseaux sociaux numériques), le harcèlement entre élèves se poursuit en dehors de l’enceinte des établissements scolaires. On parle alors de cyber-harcèlement qui est défini comme  « un acte agressif, intentionnel perpétré par un individu ou un groupe d’individus au moyen de formes de communication électroniques, de façon répétée à l’encontre d’une victime qui ne peut facilement se défendre seule ».
  A notre regret ce procédé se développe selon plusieurs formes telles que :
         
                 les intimidations, insultes, moqueries ou menaces en ligne
                   la propagation de rumeurs
                    le piratage de comptes
                 la création d’un sujet de discussion, d’un groupe ou d’une page sur un réseau social à l’encontre d’un camarade de classe
               la publication d’une photo ou d’une vidéo de la victime en mauvaise posture

                   le « sexting » (c’est la contraction de « sex » et « texting ». On peut le définir comme « Des images produites par les jeunes (17 ans et moins) qui représentant d’autres jeunes et qui pourraient être utilisées dans le cadre de la pornographie infantile »
      
   La victime est « non-stop » angoissée puisque l’harceleur reste anonyme et agi via un pseudo, le cyber-harcèlement est non seulement subi à l’école mais se prolonge au domicile, la victime est alors enfermée dans un cercle vicieux et n’est protégé nulle part.
          Hannah Smith, voilà une jeune victime qui a subi les conséquences dramatiques du site sulfureux « Ask.fm ». Le 6 août 2013, à l’âge de 14ans le monde apprend que la jeune fille s’est suicidée suite à des insultes gratuites et menaces  de la part des utilisateurs qui sont couvert par l’anonymat d’ailleurs  C'est ce que l'on peut voir sur un reportage récemment diffusé sur M6, où un adolescent reçoit en direct des menaces et même des invitations à se suicider ! Le site, fondé en 2010 a assuré qu’il avait pris des nouvelles mesures pour combattre le cyber-harcèlement mais malgré les drames le contenu du réseau reste le même.

     Pour combattre le cyber-harcèlement, tous les adultes doivent agir ensemble puisqu’ils sont censés nous aider en cas de difficulté et aussi nous responsabiliser en termes de prévention. Puis le Brevet informatique et internet (B2i) permet d’inculquer un usage responsable d’internet. 

     Pour les parents, élèves, professionnels de l’éducation qui sont confrontés à des situations de harcèlement des experts répondent à vos questions, numéro vert est le 08.08.80.70.10.







2) Au travail

      On pense que le problème vient des réseaux sociaux qui nous demandent sans cesse de révéler un maximum de données personnelles  or c’est nous qui décidons ce que l’on y fait et comment. En 2010 nombreux furent ceux qui avaient été licenciés à cause de leurs publications sur les réseaux sociaux. Par exemple selon une enquête menée dans 6pays des jeunes entre 16 et 24ans ont du mal à trouver du travail en raison de leurs publications  visibles sur les réseaux sociaux  puisque certains recruteurs, après avoir observé le comportement des postulants sur les réseaux sociaux ont éconduit leurs candidatures.        



      Le sondage, réalisé auprès de 20 225 personnes âgées de 16 à 34 ans et provenant de six pays différents (USA, Grande-Bretagne, Nigeria, Inde, Brésil, Chine), révèle que 9 % des Anglais et 8 % des Américains entre 16 et 24 ans pensent avoir été écartés d'un poste à cause de commentaires ou de photos les concernant. Entre 25 et 34 ans, ces pourcentages descendent respectivement à 6 et 7 %.

      Mais la question est pourquoi les recruteurs vont sur les réseaux sociaux voir la vie privé des demandeurs d’emploi ? La réponse est simple, maintenant grâce aux réseaux sociaux les recruteurs peuvent accéder à tout un tas d'information qu'ils ne pouvaient pas avoir sur un CV ou une lettre de motivation et encore moins à l’entretien qui se limitent aux compétences et à leur parcours, alors les employeurs font recours à internet pour savoir plus précisément le profil du candidat et savoir s’ils sont à la hauteur ou pas de  de la réputation de l’entreprise et à l’image qu’elle veut projeter. 

samedi 1 février 2014

conclusion



 → On constate donc que de 90 à nos jours l'impact des réseaux sociaux n'a cessé d'évoluer à l'égard des jeunes. A leur début, les réseaux sociaux n'étaient fréquentés que par un nombre restreint de personne pour un usage spécifique alors qu'aujourd'hui ils font parti du quotidien des jeunes. Cela s'explique par un "phénomène de mode" dans lequel chaque adolescent s'identifie. De plus, les réseaux sociaux ont perturbé les relations à autrui, ils renouvellent la notion d'amitié et prennent une place parfois trop importante au sein d'une relation amoureuse. Mais ils ont aussi un côté positif car ils permettent à chacun d'augmenter son capital social. Néanmoins en utilisant ces réseaux on s'expose à plusieurs dangers, notamment celui d'une vie publique et privée confondue.